La liberté n’est pas une variable d’ajustement.

Invité des Experts sur BFM Business, Maxime Sbaihi commente les mesures annoncées la veille par le Président de la République et analyse les effets de la crise sur l’économie.

 

Maxime s’inquiète de la méthode employée par le Gouvernement pour lutter contre la Covid-19. Il souligne l’urgence de la situation sanitaire mais déplore des mesures infantilisantes qui font appel à la solidarité en abandonnant la responsabilité individuelle. Maxime met en garde contre l’oubli de la valeur première de notre devise nationale alors que le Gouvernement dicte la manœuvre sans contrôle du Parlement. Il s’inquiète que la peur prenne le pas sur la raison et sur les libertés.

« Ce qui me dérange c’est d’opposer liberté et solidarité, de faire croire qu’une société ne peut pas faire nation, que les individus libres ne peuvent pas être des citoyens solidaires. »

Maxime souligne la grande aggravation des inégalités intergénérationnelles alors les jeunes sont les premiers à subir la crise. Il rappelle que le chômage partiel, présenté comme mesure phare de la lutte contre la crise économique, ne concerne pas les quelques sept-cent mille jeunes qui arrivent chaque année sur le marché du travail. Ces derniers ont subi les ajustements de la première vague, subiront la deuxième et hériteront à plus long terme de la dette Covid.

« La crise va durer et les bricolages ne vont pas suffire. Il est temps de passer à un outil simple et efficace. »

Maxime juge les aides annoncées par Emmanuel Macron nécessaires mais insuffisantes. La crise que subit le pays est vouée à durer et la mise en place d’un outil simple et efficace pour couvrir les actifs mais aussi les inactifs est urgente. Maxime prône la version du revenu universel proposée par GenerationLibre depuis 2016 sous la forme d’un crédit d’impôt.


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Pour lire notre article « La France a peur », cliquer ICI.

Pour lire notre article « Liber : une proposition réaliste », cliquer ICI.

 

Publié le 15/10/2020.

Relance française, blocage américain

Invité de La Semaine de l’éco sur France 24, Maxime Sbaihi analyse les effets de la gestion de la crise sanitaire sur l’économie et fait le bilan de la politique économique de Donald Trump à la veille des élections présidentielles.

 

Si Maxime salue l’orientation du Gouvernement vers un ciblage territorial dans la lutte contre la Covid-19, il déplore un manque de concertation citoyenne. Le Gouvernement ne joue pas sur la responsabilité humaine alors que les citoyens sont conscients de la situation sanitaire. Une méthode qui doit, selon Maxime, être affinée afin de lutter contre le virus en concertation avec les professionnels des secteurs concernés.

« On empile les mesures sans jouer sur la responsabilité humaine et sans concertation. »

Maxime estime que le chômage partiel est une mesure d’urgence indispensable mais peut représenter une menace sur l’économie à moyen terme. Alors que plusieurs centaines de milliers de jeunes entrent sur le marché du travail chaque année, le chômage partiel ne protège que les emplois existants.

« Si on pense à moyen terme, le risque c’est qu’en gelant le marché du travail, vous protégez les emplois existants mais vous mettez une barrière à l’entrée de ce marché. »

Alors que la relance française balbutie sur la méthode à employer, les efforts de relance aux Etats-Unis sont compromis par le jeu des élections présidentielles. Républicains et Démocrates ne sont en réalité pas si éloignés dans les détails d’un deuxième plan de relance mais le jeu de la politique politicienne en ces temps d’élection risque de se mettre en travers d’un accord. Concernant le bilan du président sortant, il a mené une politique économique faussement libérale, s’orientant davantage vers le protectionnisme et le creusement des déficits publics et son bilan est entaché par la gestion calamiteuse de la Covid-19.


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Publié le 09/10/2020.

[Lu Ailleurs] La démocratie menacée

Dominique Schnapper analyse le débat entre Alain Finkielkraut et François Sureau sur l’état de la démocratie en France. Deux visions différentes des menaces qui pèsent sur notre modèle politique.

 

Aux yeux de la sociologue, Alain Finkielkraut incarne le républicain dans ce débat. Il s’inquiète d’un affaiblissement de l’autorité de la puissance publique qui cède aux exigences de reconnaissance identitaire. Le philosophe déplore un délitement de la société qu’il attribue notamment à une immigration incontrôlée qui agrègerait à la nation des groupes qui en refusent la tradition.

« Pour Alain Finkielkraut, la démocratie actuelle souffre avant tout de l’extension illimitée des droits-créances aux dépens du respect de la loi républicaine et de la volonté politique. » 

Dominique Schnapper souligne que si François Sureau parvient aux mêmes constats sur la situation de la démocratie, il leur donne un sens différent sous le prisme libéral. Contrairement à Alain Finkielkraut, les inquiétudes de François Sureau s’articulent autour de la réaction liberticide de l’Etat face aux dangers et aux crises. Il déplore notamment un usage surdimensionné de la garde-à-vue durant la crise des Gilets jaunes.

« Les dangers auxquels nous faisons face ne doivent pas nous conduire à remettre en question les principes essentiels du droit libéral, même de manière provisoire. »

Dominique Schnapper appelle à surmonter cette opposition. Selon la sociologue, la situation démocratique française s’explique par un déséquilibre entre le principe d’égalité et de liberté.

« La tradition démocratique en France a toujours eu un problème avec la liberté. »

Elle livre son analyse d’un fourvoiement de l’Etat qui cherche en vain à résoudre des crises sociales par la loi. Elle souligne que la loi ne peut que « limiter certaines expressions publiques de cette défiance » au risque de se montrer autoritaire.

En se fondant sur les constats des deux philosophes, Dominique Schnapper pose finalement une série de questions ouvertes à partir d’une hypothèse toute tocquevillienne : « la dynamique démocratique pourrait, par sa propre logique et par ses propres excès, dénaturer le projet démocratique lui-même. »


Pour lire l’article de Dominique Schnapper, cliquer ICI.

Pour lire notre rapport « Pour rétablir la liberté d’expression », cliquer ICI.

Pour visiter notre Observatoire des Libertés Confinées, cliquer ICI.

 

Publié le 09/10/2020.

« Le libéralisme ne dit pas aux SDF qu’il faut monter une start-up. » Gaspard Koenig

Invité de l’émission « Philosophie » sur Arte animée par Raphaël Enthoven, Gaspard Koenig défend des politiques publiques libérales face à la députée communiste Elsa Faucillon.

 

Loin de l’image d’un libéralisme qui graviterait autour des mondes économique et financier et soutiendrait les puissants, Gaspard rappelle que la Révolution française s’est largement inspirée des idéaux du libéralisme développés dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En France, les idées libérales ont vocation à « établir un lien direct entre l’Etat et l’individu » grâce à des propositions de politiques publiques.

« Le libéralisme ne dit pas aux SDF qu’il faut monter une start-up. »

Au delà des libertés formelles, Gaspard soutient une vision du libéralisme qui réinjecte l’idée marxiste de liberté réelle. Plutôt que de chercher à diminuer les inégalités, il faut d’abord lutter contre la pauvreté. C’est pourquoi GeneratonLibre défend un revenu unversel d’environ 500 euros qui permettrait de mettre l’individu à l’abri des aléas. Un filet de sécurité monétaire pour couvrir les besoins de base sans paternalisme bureaucratique ni désincitation au travail.

« Je pense que le but de la politique publique est de distinguer complètement la loi et la morale. »

Selon Gaspard, l’Etat doit orienter ses politiques publiques en distinguant loi et morale sans infantiliser le citoyen. A ce titre, Gaspard dénonce la politique prohibitionniste sur le cannabis. C’est l’établissement d’un marché ouvert qui permet une régulation qui n’empiète pas sur les libertés individuelles : la légalisation permettrait donc de favoriser l’information, la prévention, et le choix responsable de chacun.

« Quand on plaque une utopie sur le réel, on crée toujours énormément de souffrance. »

Gaspard met en garde contre les dérives liberticides que peut emprunter l’Etat au nom d’une cause urgente comme l’écologie. Il rappelle que le progrès doit se faire par apprentissages successifs et que les objectifs doivent sans cesse être mis à l’épreuve du réel. Plutôt que de restreindre certaines activités, une politique publique ambitieuse consisterait en la création d’un prix sur le carbone pour donner un coût aux externalités négatives liées aux émissions polluantes.


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Pour lire notre rapport « Liber : un revenu de liberté pour tous », cliquer ICI.

Pour lire notre rapport « Liber : une proposition réaliste », cliquer ICI.

Pour lire notre note « Cannabis : pourquoi et comment légaliser », cliquer ICI.

Pour lire notre article « Et si l’Europe mettait un prix sur les émissions carbone », cliquer ICI.

 

Publié le 08/10/2020.

Sur Instagram, c’est vous le produit !

Invité de Late&Smart sur B Smart, Maxime Sbaihi commente le rôle de l’Etat actionnaire dans l’affaire Suez-Veolia et s’intéresse au business model d’Instagram. Dans un article sur la startup Tadata, La Croix rappelle que GenerationLibre « estime que l’internaute doit être considéré comme propriétaire de ses données ». 

 

Dans l’affaire de la fusion Suez-Veolia, Maxime s’étonne d’une tendance à éviter à tout prix d’être en désaccord avec l’Etat actionnaire. Il rappelle que si l’Etat n’a pas eu gain de cause, c’est en sa qualité d’actionnaire rendu minoritaire à l’issue d’un vote sur la fusion des deux entreprises.

« Ce qui est intéressant c’est qu’on a l’impression que les gens s’excusent d’être en désaccord avec l’Etat mais il y a eu un vote à la majorité et l’actionnaire minoritaire a été mis en minorité. »

Dans le contexte du ralentissement de l’économie lié à la crise sanitaire, Maxime souligne le rôle important de la Banque publique d’investissement pour épauler les entreprises qui n’ont pas accès au crédit. Il rappelle cependant l’effet d’éviction que peut avoir la BPI sur l’investissement des banques privées.

« En période de crise, la BPI est un investisseur très important qui a le rôle d’aider ceux qui n’ont pas accès aux crédits, et notamment en ce moment où les banques resserrent non pas les taux mais les conditions. »

A l’occasion des dix ans de la plateforme Instagram, Maxime met en garde contre un business model qui profite des données personnelles des internautes sans que ceux-ci s’en aperçoivent.

« Instagram génère des profits considérables avec des données qui sont créées par des utilisateurs qui n’en touchent pas un euro. »

Si Instagram est un outil particulièrement intéressant pour les entreprises, les media et les individus, Maxime souligne qu’il faut questionner son business model qui bouleverse les libertés individuelles, la concurrence et même le rôle de l’Etat.

Ces plateformes proposent un ensemble d’outils du partage d’images à la messagerie en passant par le paiement. Elles fondent leur activité sur l’exploitation des données personnelles tout en créant aussi une addiction chez l’utilisateur. Un phénomène qui s’appuie sur les biais cognitifs des individus comme l’explique le documentaire The Social Dilemma. Elles finissent par s’imposer comme des acteurs monopolistiques de l’économie numérique dont l’individu est inconsciemment dépendant.

Alors qu’un feu vert a été donné par la CNIL aux activités de la startup Tadata, qui propose de rémunérer de jeunes internautes en l’échange de leurs données, un article dans La Croix cite Maxime : « Aujourd’hui, les grandes plateformes vendent déjà les données personnelles de leurs utilisateurs. L’internaute devrait donc pouvoir en négocier le prix, accorder une licence pour leur utilisation ou la refuser. »


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Pour lire l’article de La Croix, cliquer ICI.

Pour notre rapport « Mes data sont à moi » , cliquer ICI.

Pour notre rapport « Aux data, citoyens ! » , cliquer ICI.

 

Publié le 07/10/2020. Modifié le 08/10/2020.

« Il y a un risque de zombification de l’économie. » Maxime Sbaihi

Invité des Experts sur BFM Business, Maxime Sbaihi commente les propositions pour la relance du Cercle des économistes.

 

Si les économistes appellent à une prolongation du chômage partiel, Maxime en pointe les risques cachés. Il souligne le problème des entreprises « zombies » qui fleurissent dans notre économie depuis les années 1990.

 

 

Continuer à soutenir artificiellement les entreprises « zombies » est contre-productif car elles sont « très peu rentables, très endettées et très peu productives ».  Elles courent le risque d’emporter leur secteur dans leur chute et d’avoir un impact négatif sur la croissance.

« Si vous gardez artificiellement des emplois, vous empêchez l’économie d’avancer, de se reconvertir vers de nouveaux secteurs. »

Le Cercle des économistes propose que l’Europe s’inspire du DARPA américain (Defense Advanced Research Agency) qui permet le financement par l’Etat d’innovations privées. Maxime rappelle l’existence de son équivalent européen, le CER (Centre européen de recherche), une structure qui souffre cruellement d’un manque de moyens. Il prône une revalorisation de cet outil grâce à un fonds dédié à la recherche fondamentale. C’est à l’inverse, un investissement pour les entreprises en chair et en os de demain.


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Pour relire notre article « Comment réussi la relance économique », cliquer ICI.

 

Publié le 14/09/2020.

Comment réussir la relance économique ?

Maxime Sbaihi est l’invité de Late&Smart sur B Smart pour commenter la conjoncture économique, le plan de relance ainsi que le plan à 7 milliards d’euros pour le développement de l’hydrogène.

 

A la lumière de l’échec du Programme d’investissement d’avenir, Maxime craint que le plan de relance ne se perde dans les méandres de l’administration. L’installation de sous-préfets à la relance est déjà un aveu d’impuissance du Gouvernement.

 

 

Tout ce qui n’a pas été décidé auparavant en termes d’investissement productif, de formation ou d’employabilité des jeunes constitue un boulet que l’on va payer. Maxime s’inquiète aussi que l’épargne constituée par les Français depuis début 2020, particulièrement depuis la crise, n’aille pas relancer l’économie réelle.

Maxime souligne par ailleurs qu’il y a beaucoup trop de décisions qui sont prises à Paris. Il dénonce la recentralisation de la France en matière de finances locales ou sur la gestion du port du masque.

« Ce n’est pas 7 milliards qui lanceront vraiment la filière hydrogène. »

Enfin, Maxime explique que l’hydrogène ne sera pas compétitif face aux hydrocarbures tant qu’on n’intégrera pas les émissions carbone dans le prix de l’énergie. Plutôt que de chercher à prévoir ce que seront les besoins ou solutions énergétiques à l’avenir, il faudrait mettre en place un vrai instrument avec l’instauration d’un prix carbone au niveau européen.


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Pour relire notre article « L’Etat stratège doit simplifier plutôt que planifier », cliquer ICI.

Pour relire notre article « Et si l’Europe mettait un prix sur les émissions carbone ? », cliquer ICI.

 

Publié le 10/09/2020.

L’Etat stratège doit simplifier plutôt que planifier

Aux côtés de l’économiste Thomas Porcher, Maxime Sbaihi est l’invité de 28 Minutes sur Arte pour commenter le plan de relance présenté par le Gouvernement ainsi que la nomination de François Bayrou au poste réinventé de commissaire au Plan. 

 

Maxime doute de la capacité ou de la légitimé de l’Etat à pouvoir planifier avec efficacité l’économie sur le long terme depuis des bureaux parisiens : un véritable Etat stratège devrait au contraire décentraliser la prise de décision. Il regrette par ailleurs le manque d’ambition politique en matière écologique. Aux yeux de Maxime, le rôle de l’Etat est de mettre en place des instruments ou véritables politiques publiques comme le prix carbone, plutôt que de saupoudrer des aides ou se fourvoyer dans une planification impossible des besoins énergétiques dans 20 ans.

« L’économie, c’est quelque chose qui est en métamorphose permanente. Interdire les licenciements ou mettre trop de conditions, ça risque d’empêcher les entreprises de rebondir. »

Maxime rappelle que les impôts de production, une anomalie économique à ses yeux, viennent sanctionner l’activité avant même que les entreprises ne dégagent un bénéfice. Il se félicite de leur baisse, confirmée par le Gouvernement à l’occasion de la présentation du plan de relance alors que l’économie a souffert de manière inédite de la crise sanitaire.

Maxime explique que l’on doit donner une certaine flexibilité aux entreprises pour leur permettre d’amortir le choc de la crise.

 


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Publié le 04/09/2020.

Visons l’excellence pour nos universités !

Pour favoriser l’excellence dans nos universités, il est indispensable de leur donner davantage de moyens, et de s’assurer que les formations débouchent sur un emploi.

 

La députée Valérie Petit a attiré l’attention de la ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal sur notre dernière note. Dans une question écrite, elle a mis en avant le problème du manque de moyen de nos universités.

En effet, l’État Français dépense relativement peu pour son enseignement supérieur, contrairement à ses voisins européens. Le financement public dans ce domaine représente 0,6% du PIB en 2018, alors qu’un pays comme la Finlande dépense 1,7%. Notre proposition permettrait de porter le budget consacré à l’enseignement supérieur public à 43 milliards d’euros, contre 27,5 milliards d’euros aujourd’hui.

« Mme la députée considère qu’il s’agit d’une piste intéressante qui pourrait permettre de réformer l’enseignement supérieur qui manque de moyens et pour donner plus d’autonomie aux établissements. » Question écrite de Valérie Petit

Dans l’Opinion, Maxime Sbaihi a répondu à l’objection selon laquelle notre proposition de réforme pénaliserait les filières « non rentables ». Suivant cette logique, les étudiants pourraient être incités à étudier dans les filières qui offrent les meilleures perspectives de revenu, et les établissements incités à investir davantage sur ces filières au détriment des filières moins rémunératrices.

Pour Maxime, il n’existe pas vraiment de filières non rentables. La taille de certaines disciplines évoluera à la hausse ou à la baisse selon les besoins du marché du travail. Mais nous aurons toujours besoin de spécialistes en philosophie ou en littérature ancienne.

« Il n’est pas question, évidemment, de supprimer les filières type psychologie ou philosophie. De telles études, sans débouchés nombreux, peuvent prétendre à l’excellence pédagogique. Le plus important reste que les formations débouchent sur un travail. » Maxime Sbaihi

Le système dégagerait des marges financière suffisantes pour compenser un manque de rentabilité de certaines filières. Enfin, il est raisonnable de penser que nombre d’étudiants continueront à étudier dans des disciplines qui leur plaisent malgré une rémunération moins élevée.


Pour lire la question écrite de Valérie Petit, cliquer ICI.

Pour lire l’entretien de Maxime Sbaihi dans l’Opinion, cliquer ICI.

Pour lire notre rapport « Révolutionner les frais d’inscription », cliquer ICI.

 

Publié le 20/07/2020.

L’Europe a rendez-vous avec l’Histoire

Pour Maxime Sbaihi sur BFM Business, le sommet européen de ce week-end est historique. Si l’Europe veut se donner les moyens de son ambition géopolitique, elle doit se doter d’un outil budgétaire.

 


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Pour relire notre recueil « Europa – Dépasser le nationalisme », cliquer ICI.

 

Publié le 17/07/2020.

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