Maxime Sbaihi est l’invité de 28 Minutes sur Arte, pour débattre de l’impact de la crise économique et sanitaire sur la jeunesse française.
Alors que le taux de pauvreté des jeunes est trois fois supérieur à celui des seniors, Maxime appelle à prendre davantage soin des nouvelles générations.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1283709527121178625
https://twitter.com/GLthinktank/status/1283723121313361920
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Pour lire l’article « Jeunesse en détresse », cliquer ICI.
Pour lire l’article « Quel modèle social pour une société vieillissante ? », cliquer ICI.
Pour lire notre rapport « Révolutionner les frais d’inscription », cliquer ICI.
Dans une tribune pour le Journal du Dimanche, notre directeur des études Vincent Delhomme prend acte des problèmes structurels de l’enseignement supérieur français, et détaille notre proposition pour y remédier.
L’illusion de la gratuité de nos universités est un de ces problèmes. En effet, l’enseignement supérieur français est financé par le contribuable. Ce système est injuste, car il n’assure pas d’adéquation entre bénéficiaires et financeurs. Il est aussi inefficace, car il ne permet pas de réduire l’inégalité des chances.
« Dans le système que nous proposons, les étudiants auraient accès à l’enseignement supérieur gratuitement en échange de l’obligation de verser un pourcentage de leur revenu futur sur une certaine durée (3% pendant vingt-quatre ans, par exemple). » Vincent Delhomme
Les sommes recouvrées par les services fiscaux alimenteraient un fonds propre à chaque établissement, leur donnant ainsi davantage d’autonomie tout en les responsabilisant.
Nous poursuivons à travers cette proposition un double objectif : la justice et l’excellence. La justice en rétablissant l’adéquation entre bénéficiaires et financeurs. L’excellence car ce système incite les établissements à délivrer un enseignement de qualité, et les étudiants à véritablement s’investir dans leurs études.
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Notre proposition sur la patrimonialité des données continue à créer du débat. Notre experte et avocate Isabelle Landreau a présenté notre proposition à l’occasion d’une conférence organisée par l’Association Française du Droit de l’Informatique et des Télécommunications (AFDIT).
Pour Isabelle Landreau, le « cyber citoyen » est propriétaire de facto de ses données car il les génère.
« Aujourd’hui, tout est connecté. Nous générons sans-cesse de la donnée. Le système que nous proposons est simple : remettre le citoyen au coeur de la chaine économique de la donnée. » Isabelle Landreau
Dans l’ouvrage Data Power, Cyril de Sousa Cardoso s’est entretenu avec Maxime Sbaihi au sujet de notre proposition. Pour Maxime, il est nécessaire de révéler la valeur des données que nous produisons.
« Chacun d’entre nous pourrait alors décider consciemment de les donner, les vendre, les céder contre un service, ou payer ce service en monnaie plutôt qu’en données. » Maxime Sbaihi
Enfin, Pascal Lorne s’inspire de nos travaux et défend la patrimonialité des données dans son livre 10 jours pour hacker le travail. Pour l’auteur, c’est un enjeu qui touche directement à la protection de nos libertés individuelles.
« En nous amusant à nous faire peur, nous pourrions imaginer des scénarios dans lesquels des personnes malintentionnées feraient pression sur des individus en utilisant leurs données personnelles. » Pascal Lorne
Pour voir la conférence avec Isabelle Landreau, cliquer ICI.
Pour lire notre rapport « Aux data, citoyens ! », cliquer ICI.
Le revenu universel intéresse de plus en plus de monde. Notre expert Marc de Basquiat, notre porte-parole Mathilde Broquet-Courboillet et la députée Valérie Petit ont continué à défendre notre proposition.
Dans un débat organisé par le Festival de Contis, Marc de Basquiat est revenu en détail sur les spécificités de notre proposition de revenu universel, en insistant sur la faisabilité du projet. Il a également battu en brèche l’idée selon laquelle le revenu universel favoriserait l’oisiveté.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1281156459368189952
Les Jeunes Radicaux ont invité Mathilde Broquet-Courboillet aux côtés de l’économiste Simon Holley pour débattre de notre proposition de revenu universel.
Les Jeunes Radicaux au travail, sur le #Revenuuniversel, une piste solidariste que nous étudions pour réduire la pauvreté, encore trop présente en France. Merci à Mathilde Broquet-Courboillet de @GLthinktank et à l'économiste Simon Holley pour leur apport à notre réflexion. pic.twitter.com/hqbLMZBgNX
— Jeunes Radicaux (@JeunesRadicaux) July 7, 2020
Le lundi 29 juin 2020, la députée Valérie Petit a défendu un amendement d’appel à l’Assemblée nationale pour l’instauration d’un « socle citoyen » inspiré de notre proposition de revenu universel.
#RevenuUniversel Ce soir @ValeriePetit_EM défend un amndt d'appel à l'@AssembleeNat (examen #PLF3) : une réforme de l'impôt sur le revenu afin d'instaurer un #SocleCitoyen. Comme proposé par GL, chaque Français recevrait 500€ de crédit d'impôt chaque mois https://t.co/O78RBCMFJu pic.twitter.com/ZfcaqIxfas
— GenerationLibre (@GLthinktank) June 29, 2020
Pour revoir le débat avec Marc de Basquiat, cliquer ICI.
Pour lire l’amendement très complet déposé par Valérie Petit, cliquer ICI.
Pour lire l’article du Point, cliquer ICI.
Pour lire notre rapport « Liber : un revenu de liberté pour tous », cliquer ICI.
Pour lire notre rapport « Liber : une proposition réaliste », cliquer ICI.
Invité de On refait le monde sur RTL, Maxime Sbaihi s’inquiète de l’explosion de la dette et de l’état de nos finances publiques.
« L'austérité, elle n'existe pas en France. Ça fait 40 ans que la dette augmente, que la taille de l'État dans l'économie augmente. »@MxSba sur @RTLFrance à propos du dernier rapport de la @Courdescomptes. pic.twitter.com/vaj0C63rzR
— GenerationLibre (@GLthinktank) July 2, 2020
Interrogé sur la crise du secteur aérien, Maxime pointe l’incohérence de certains discours politique. On ne peut pas à la fois accélérer la transition écologique, préserver les emplois et sauver Air France : il faut faire un choix.
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Sur RTL dans On refait le monde, Maxime Sbaihi et Nathalie Iannetta expliquent pourquoi ils n’installeront pas l’application StopCovid.
« Je considère que nous sommes responsables individuellement de nos actes, et qu’on n’a pas, ni à me fliquer, et que je n’ai pas à fliquer les autres. » @nathiannetta ne téléchargera pas #StopCovid, tout comme @MxSba. 👉 L’analyse de notre expert @rubin : https://t.co/XeGOfyIJel pic.twitter.com/0TwXWoG7X1
— GenerationLibre (@GLthinktank) June 24, 2020
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Pour lire l’article de Rubin « StopCovid : un projet mort-né », cliquer ICI.
Pour lire notre rapport « Aux data, citoyens ! », cliquer ICI.
Invitée de l’émission Points de vue, Mathilde Broquet-Courboillet explique comment le développement du e-commerce pourrait être un levier économique important pour beaucoup de petites et moyennes entreprises.
« Plus de la moitié du e-commerce concerne les TPE & PME »
Pour @MBroquet_Courb, le développement de #Amazon peut être un levier économique important pour beaucoup de petites et moyennes entreprises.
Notre proposition pour libérer les entreprises : https://t.co/JzEWD1RS9V pic.twitter.com/isNsRRWtTj
— GenerationLibre (@GLthinktank) June 24, 2020
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Pour lire notre rapport « Libérer l’entreprise », cliquer ICI.
Plutôt que de taxer les GAFA, Virginie Calmels et Jean-Christophe Lagarde appellent à réintégrer l’internaute dans la chaîne de valeur de l’économie numérique, et défendent notre proposition.
Interrogée par Nicolas Doze sur la taxe GAFA, Virginie Calmels craint que cette taxe symbolique soit supportée avant tout par les consommateurs. S’il est nécessaire que les GAFA paient des impôts comme toutes les entreprises, elle invite à explorer le changement de paradigme proposé par GenerationLibre. Il faut protéger la confidentialité des données tout en promouvant la concurrence des acteurs sur un véritable marché. C’est l’enjeu de rendre les internautes propriétaires de leurs données.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1274994135615889409
Sur France Info, Jean-Christophe Lagarde considère quant à lui que la taxe GAFA serait une absurdité économique car elle toucherait avant tout les petites et moyennes entreprises tributaires d’Amazon pour commercialiser leurs produits. Plutôt que de taxer inutilement les GAFA, il faut à ses yeux les obliger à rémunérer la valeur des données des consommateurs.
La taxe #GAFA est une taxe cachée sur les artisans français : voilà pourquoi je défends plutôt un Droit de propriété sur les données personnelles. pic.twitter.com/QM8TXOilce
— Jean-Christophe Lagarde (@jclagarde) June 19, 2020
Pour revoir l’émission sur BFM Business, cliquer ICI.
Pour revoir l’émission sur France Info, cliquer ICI.
Pour lire l’article « Droit de propriété sur les données : une révolution défendue par l’UDI », cliquer ICI.
Pour relire nos deux rapports DATA, cliquer ICI (I) et ICI (II).
Invité des Experts sur BFM Business, Maxime Sbaihi s’inquiète des effets de la crise sur l’emploi. Les jeunes, qui portent déjà le fardeau des dettes publique et écologique, vont en être les premières victimes.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1273665887887859714
Maxime plaide aussi pour que l’Europe se munisse d’un vrai instrument, comme le prix carbone, afin de répondre aux enjeux environnementaux.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1273295315953766400
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Pour lire notre rapport « Travailler demain », cliquer ICI.
Pour lire notre article « Et si l’Europe mettait un prix sur les émissions carbone ? », cliquer ICI.
Sur RTL dans On refait le monde, Maxime Sbaihi met Gérard Miller et Carole Barjon d’accord pour dé-bureaucratiser la gouvernance des hôpitaux.
Les trois chroniqueurs se rejoignent pour repenser la fonction publique autour de trois principes : décentraliser, dé-bureaucratiser, mieux rémunérer.
https://twitter.com/GLthinktank/status/1273204504780038144
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Pour lire notre rapport « Servir l’État demain », cliquer ICI.