Dans l’Opinion, Maxime Sbaihi brosse le portrait d’Elon Musk. Entre disruption, audace et controverse, le patron de Tesla ne laisse personne indifférent. Mais il a le mérite de faire bouger les lignes.
Alors que Tesla s’est établi comme le nouveau leader du marché automobile électrique, SpaceX envoie son tout premier vol habité privé à destination de la Station Spatiale Internationale.
« Musk a réalisé l’impossible : mettre le pied dans la porte du plus gros des monopoles naturels, celui de la conquête spatiale. » Maxime Sbaihi
Et si 2020 était l’année d’Elon Musk ? En une quinzaine d’années, les projets et les réussites ne manquent pas : Paypal, Tesla, SpaceX, SolarCity, Hyperloop, Neuralink… Pour Maxime, l’audace et l’entêtement d’Elon Musk, bien que clivants, rafraîchissent une Amérique embourbée dans le capitalisme de connivence.
À l’heure du grand retour des illusions planificatrices et de la moralisation rampante de l’activité économique, la France cherche toujours sa figure disruptive capable de sortir des sentiers battus.
« Au pays du principe de précaution, où risque rime plus avec peur qu’opportunité, et fiscalité davantage avec égalité que liberté, la folie entrepreneuriale d’un Musk semble presque proscrite. » Maxime Sbaihi
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