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Choisir sa mort, un droit encore à conquérir

Choisir sa mort, un droit encore à conquérir

Dans Libération, Daniel Borrillo, chercheur associé GenerationLibre et auteur de notre deuxième ouvrage aux éditions Puf « La famille par contrat », déplore que l’euthanasie soit systématiquement abordée sous le même prisme idéologique.

 

En Occident, deux traditions s’opposent sur la fin de vie. La philosophie antique plébiscite le choix de la mort tandis que la vision judéo-chrétienne ne distingue pas l’euthanasie du meurtre. Daniel Borrillo explique qu’en France l’ensemble des dispositions relatives à la fin de vie se résument au respect de la vie du patient plutôt que de sa volonté de mourir.

« L’histoire juridique de l’euthanasie en France montre bien que la question n’a jamais été vraiment traitée comme celle d’une liberté protégée par l’État.  »

En France, le sujet de l’euthanasie n’est pas abordé en fonction du principe d’auto-détermination du patient. La parole médicale prévôt toujours sur ce dernier.

« La légalisation de l’euthanasie est ainsi le prolongement de trois siècles de modernité qui ont donné à l’individu le pouvoir sur lui-même. » Gaspard Koenig

Dans un entretien pour L’Express, Gaspard Koenig répond à Michel Houellebecq sur cette question de l’euthanasie. Gaspard estime que la légalisation du « suicide assisté » ne contrevient pas à l’identité française. Bien au contraire, la liberté de mourir consacre à l’individu le droit à disposer de son corps.


Pour lire la tribune de Daniel Borrillo, cliquer ICI.

Pour lire l’entretin de Gaspard Koenig dans L’Express, cliquer ICI.

Pour consulter notre ouvrage « La famille par contrat », cliquer ICI.

 

Publié le 08/04/2021.

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