
Pour Gaspard Koenig, l’incroyable acharnement anglais à soutenir une décision risquant de les conduire à la récession économique ne peut se comprendre que par l’attachement indéfectible des Britanniques aux libertés.
En feuilletant les journaux dans un pub anglais ce week-end, j’ai découvert avec surprise que le « Sunday Times », pourtant loin d’être un tabloïd (plutôt l’équivalent de notre « JDD »), présentait le gang des trois Brexiters les plus farouches comme des « mousquetaires » . Image plutôt flatteuse, si tant est que Boris Johnson, Michael Gove et Jacob Rees-Mogg ne s’offusquent pas d’une comparaison aussi gasconne. Tout au long du…