Dans Les Echos, Gaspard Koenig appelle à réhabiliter l’usage du nom de famille et des titres dans les relations humaines.
Gaspard déplore que l’égalisation des conditions mène à la banalisation de l’usage du prénom dans les rapports humains. Par exemple, dans son hommage à la policière assassinée à Rambouillet, le Premier ministre utilise le prénom de la défunte. Gaspard préfère à cette « mode du prénom » l’usage singulier des noms et des titres. Une façon pour lui de considérer l’autre comme un être particulier.
« Ce nouvel égalitarisme masque mal un certain mépris généralisé pour des êtres humains devenus interchangeables. Je lui préfère la liberté de jongler entre prénom, nom, titre, pour établir vis-à-vis de chacun une relation singulière. L’avantage des conventions, c’est qu’elles nous ménagent le plaisir de les briser. »
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Publié le 05/05/2021.