Suite à l’invitation d’une soixantaine d’intellectuels à l’Elysée, dans le cadre du grand débat, Gaspard Koenig s’interroge, dans sa dernière chronique pour Les Echos, sur le devenir de cet étrange moineau qu’est l’intellectuel français.
Il explique que ce qui différencie l’intellectuel de l’expert, c’est l’attrait pour l’universalité et la solitude. En effet, l’universalité lui permet de réfléchir sur tout, et la solitude est le seul moyen pour que naisse en lui une pensée libre et originale.
Gaspard exprime ainsi son envie de laisser une nouvelle chance à l’intellectuel français. Il estime que l’universalité est toujours nécessaire, surtout lorsque le débat global n’est abandonné qu’à des spécialistes. Néanmoins, du fait de la complexité des questions actuelles, l’intellectuel français doit rompre avec sa solitude pour frotter ses idées au réel.
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