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Les gares ont perdu leur esprit vagabond

Les gares ont perdu leur esprit vagabond

La rénovation des gares parisiennes, contre laquelle s’élève Gaspard Koenig, menace de transformer des espaces de liberté en centres commerciaux post-modernes.

 

Tandis que le réchauffement climatique appelle certains à abandonner l’avion au profit du train, Gaspard refuse que les gares se changent en espaces commerciaux au même titre que les aéroports. Sans prendre parti pour les grands magasins ou les petits commerçants, il rappelle l’idéal d’espace public que doit incarner une gare.

La profusion de vitrines commerciales s’apparente à une atteinte à la tranquillité des voyageurs, tout comme la mise en place croissante de portiques de sécurité. Gaspard regrette cette obsession du contrôle qui, en s’immisçant dans les gares, entrave à la fois le droit à l’anonymat des voyageurs et la liberté de circulation.

Gaspard conclut sa chronique en appelant à une véritable politique de concurrence ferroviaire au service des voyageurs, seule issue à la dérive mercantile entreprise par la SNCF.


Pour lire la chronique de Gaspard Koenig « Et je n’entends plus siffler le train », cliquer ICI.

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